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Vador : Sombres Visions, de Hallum, Villanelli, Level, López, Mooney et Borges

Publié le par Nébal

 

HALLUM (Dennis « Hopeless »), VILLANELLI (Paolo), LEVEL (Brian), LÓPEZ (David), MOONEY (Stephen) et BORGES (Geraldo), Vador : Sombres Visions, [Star Wars : Vader – Dark Visions #1-5], Nice, Panini, coll. 100 % Star Wars, [2019] 2020, [n.p.]

 

ATTENTION : il peut y avoir des SPOILERS dans cette chronique, vous êtes avertis !

 

Il y a toujours des choses à raconter sur Dark Vador. Forcément. Chaque mois, au moins une publication des comics Marvel consacrés à l’univers étendu le figure d’une manière ou d’une autre. Pourtant, les séries dévolues au Sombre Seigneur des Sith ne sont pas éternelles. La première série Dark Vador de Marvel, un long run légendaire de Gillen et Larocca, était parallèle à la série Star Wars « générique », prenant place entre Un nouvel espoir et L’Empire contre-attaque, ce qui a donné notamment le très marquant crossover Vador : abattu, mais la série a ensuite été interrompue pour être remplacée par une autre, titrée en français Dark Vador, le Seigneur Noir des Sith, scénarisée par Charles Soule, et prenant place cette fois entre La Revanche des Sith et Un nouvel espoir. Puis cette série également a été interrompue – plus vite que la précédente, d’ailleurs. Ces interruptions, notez bien, ne devaient probablement rien à l’échec commercial, ces BD ont a priori bien marché : il s’agissait de décisions éditoriales, pour présenter plusieurs facettes du personnage le plus iconique de Star Wars.

 

Dans ce sens, Vador : Sombres Visions peut s’inscrire dans un même modèle – mais à une toute autre échelle ; car nous parlons d’une mini-série de cinq épisodes seulement, en forme de transition, par ailleurs cinq histoires courtes, sans autre lien que le personnage de Dark Vador. Les recueils d’histoires courtes, dans les comics Marvel consacrés à Star Wars, ne se sont pas toujours montrés très convaincants – les six recueils dédiés aux « héros » et aux « vilains » de chaque « ère » allaient du relativement correct à l’affligeant…

 

Mais le scénariste Dennis « Hopeless » Hallum, seul auteur commun à ces cinq récits (enfin, sans compter Greg Smallwood, qui livre de superbes couvertures pour chaque épisode), a adopté une approche différente et relativement originale : il ne parle en effet pas tant de Vador lui-même, que des représentations que s’en font d’autres personnages – une approche qui a pu me rappeler le roman Luke Skywalker : légendes de Ken Liu, mais avec un ton beaucoup plus adulte, ici, cependant également iconoclaste parfois ; car si la fascination et la peur panique sont des réactions communes dans ces histoires courtes, elles produisent des résultats variés, et parfois des épisodes étonnamment ambigus, où la dimension humoristique (oui) et la dimension tragique sont constamment mises en balance.

 

Chaque épisode de la mini-série est confié à un illustrateur différent, et cela compte, dans ce recueil – car chacun a un style marqué, qui produit des effets différents, très adaptés au propos de chaque histoire courte.

 

Le premier récit est ainsi illustré par Paolo Villanelli, un habitué des séries Star Wars de Marvel à ce stade (j’en avais déjà parlé par ici pour Lando : quitte ou double et Jedi : Fallen Order – Dark Temple). Son style épique et coloré est particulièrement approprié, ici – car c’est bien d’épique qu’il s’agit.

 

 

Et la couverture un tantinet surréaliste de Greg Smallwood va dans ce sens, en mettant en valeur un moment particulièrement badass du récit (à la limite du grotesque, à vrai dire – mais la bonne limite), tout en accentuant la dimension inquiétante du personnage.

 

Je ne suis certainement pas le seul à faire le lien avec le Death Dealer de Frazetta… En même temps, cela m’évoque aussi, mettons, les chevaliers teutoniques dans Alexandre Nevski ? Ce genre de choses ? Outre des représentations communes des cavaliers de l’apocalypse…

 

 

C’est que cet épisode se situe clairement du côté de la fascination suscitée par le personnage de Vador – une fascination pure, car libérée de toute connotation d’ordre moral. En effet, ce récit, du sel dont on fait les sagas, nous est conté par un gamin qui n’a jamais entendu parler de Dark Vador – ni probablement de l’Empire. Habitant un monde sauvage et dangereux, où une créature gigantesque (et d’autres ?) a anéanti toute forme de civilisation, il ne sait pas grand-chose de ce qui se passe au-delà de l’atmosphère de sa planète – même s’il ne faut probablement pas le prendre au pied de la lettre quand il évoque « des dieux qui se battent » pour décrire la bataille spatiale opposant l’Empire et l’Alliance Rebelle qui prend place en orbite.

 

L’arrivée de Vador (dans son TIE complètement défoncé, un truc qui revient souvent dans ces épisodes) a pour lui quelque chose de mythique, voire messianique. Et d’autant plus de la manière dont il nous conte cette histoire – car nous n’avons au fond que son point de vue, ce qui est bien le propos de la série, et c’est clairement le point de vue d’un conteur, dans une tradition un peu archaïque, qui a sans doute déjà, à ce stade, commencé à enjoliver ce à quoi il a assisté (la fin du récit va clairement dans ce sens).

 

 

Or, pour cet observateur extérieur, qui ne sait rien de Vador, il n’y a pas de « Sombre Seigneur des Sith » qui tienne. Ce « chevalier noir » est sans doute inquiétant, avec son armure étrange, mais il est incontestablement un immense héros, plus grand que nature. Libéré du jugement moral, qu’une plus grande connaissance de son sujet biaiserait, le gamin décrit Vador comme le pur chevalier badass qu’il a toujours été malgré tout. Ses prouesses martiales suscitent, oui, la fascination.

 

 

Et de manière toujours plus démesurée. Ce chevalier noir tombé du ciel est bien un grand héros, même si sa silhouette paraît minuscule face à celle de « l’Annihilatrice ». Mais d’autant plus, en fait : c’est Beowulf affrontant Grendel, saint Georges faisant face au dragon. Dark Vador, ou le plus grand, le plus épique, des héros – et dans sa lutte acharnée contre un monstre destructeur de civilisation, on devine une portée eschatologique : ici, parce qu’il n’y a pas d’Ordre 66, de Palpatine et de Luke Skywalker, on peut avoir le sentiment que Vador incarne le Bien et lutte contre le Mal… car tout est une question de point de vue.

 

Une approche pertinente. Maintenant, avec ses qualités, scénaristiques comme graphiques (ça en jette quand même pas mal), ce récit est probablement le plus « commun », ou le moins original, des cinq. Parce qu’il constitue une entrée en matière, c’est à bon droit. Mais la suite se montrera plus audacieuse.

 

 

Le deuxième épisode, illustré par Brian Level, en témoigne aussitôt. C’est un récit qui a clairement une dimension humoristique, et qui pourtant a quelque chose de tragique en même temps – ce qui le rapproche de l’épisode 3.

 

Le dessin est particulièrement approprié, très éloigné des standards des comics contemporains, Star Wars ou pas. Le trait de Brian Level a quelque chose de plus « old school » et expressionniste, et pourtant inventif, dans la mise en page notamment – je ne suis pas un grand connaisseur de Corben, mais à vue de nez je dirais qu’il y a un peu de ça ?

 

 

Le point de vue est cette fois celui d’un officier impérial, commandant d’un destroyer stellaire. Un homme rude mais compétent, à vue de nez, mais qui perd tous ses moyens quand il apprend que Vador le rejoindra bientôt pour interroger un espion rebelle censément prisonnier… mais qui a en fait échappé aux impériaux. L’officier, par le passé, a assisté à la colère de Vador, cette fâcheuse tendance à étrangler les commandants insuffisamment efficaces – et il en a hérité un mantra : « L’échec n’est pas toléré ! »

 

Notre « héros » est totalement terrifié à l’idée de faire les frais du déplaisir de Vador – alors il fera tout pour y échapper, il doit capturer in extremis l’espion rebelle. Et tous les moyens sont bons, à ce stade.

 

 

Jusqu’aux choses les plus invraisemblables et dangereuses, au mépris de la vie de ses pilotes et de son équipage. La peur de déplaire à Vador est telle que suivre un U-Wing dans un champ d’astéroïdes, envoyer des TIE dans une tempête de sable ou précipiter son destroyer dans la gueule d’un exogorth lui paraissent des options préférables à la colère du Sith.

 

Bien sûr, cet épisode joue à fond la carte de l’excès – vous me direz, c’était le cas aussi du premier… Mais le ton ne saurait être plus différent : on est, délibérément, de l’autre côté du grotesque. Et c’est très drôle.

 

Et pourtant tragique, au fond – la conclusion du récit, totalement absurde, mais de manière délibérée, lui donnant de faux airs de fable déglinguée et cruelle.

 

Une réussite en ce qui me concerne – mais je pourrais comprendre que ça ne parle pas à tout le monde.

 

 

Or le troisième épisode est un peu dans la même catégorie – mais en poussant les choses bien plus loin, et d’une manière bien plus inattendue, avec des illustrations (très à propos une fois de plus) signées par l’Espagnol David López, assisté comme on le verra par son compatriote Javier Pina pour certaines séquences. Et c’est un épisode peu ou prou dénué d’action.

 

 

Et on revient du côté de la fascination. Le point de vue, cette fois, est celui d’une infirmière follement amoureuse de Dark Vador. Parce qu’elle est au service d’un médecin de l’Étoile de la Mort régulièrement chargé d’opérer le Sombre Seigneur des Sith (qui ne revient jamais indemne des batailles où il triomphe, au sol comme aux commandes de son TIE Advanced x1), elle est amenée à le croiser de temps à autre, et est véritablement fascinée par le chevalier noir.

 

 

Et c’est un sacré problème – parce qu’elle vit dans un monde de purs fantasmes. Le moindre geste esquissé par Vador, un geste généralement violent et haineux car sinon ce ne serait pas Vador, lui paraît avoir une signification secrète, destinée à sa seule compréhension par essence supérieure. Elle est bientôt persuadée que Vador l’aime tout autant qu’elle l’aime lui…

 

 

Ses fantasmes se traduisent souvent par des séquences hallucinées dont le graphisme change du tout au tout, louchant bien davantage sur la peinture… et sur les couvertures de bouquins type Harlequin. C’est ici que Javier Pina vient donner un coup de main à David López, pour un résultat très à propos, de toute beauté, et contrastant de manière pertinente avec le dessin plus sobre des séquences « normales » (non sans charme, cela dit – on appréciera tout particulièrement les yeux exorbités et le sourire un peu niais qui caractérisent l’infirmière).

 

 

Ces fantasmes ne sont pas qu’amoureux, cela dit. Si l’infirmière se convainc toujours davantage de ce que son amour est partagé, son délire peut en conséquence avoir des traits relevant davantage d’une forme de volonté de puissance – elle fantasme tout autant sur les sévices qu’elle pourra infliger à son patron le moment venu…

 

 

Ce qui l’amène à faire des choses… eh bien, stupides et dangereuses. Comme une collection de reliques de Vador…

 

Vous vous en doutez, ça va mal finir. Et, du coup, on se retrouve un peu dans la même situation qu’avec l’épisode 2 : tout cela est très drôle, mais, au fond, c’est en même temps tragique.

 

Cet épisode est clairement le plus original du volume. Il est aussi probablement celui que j’ai préféré. Là encore, je comprendrais que tout le monde ne soit pas de cet avis, mais, oui, j’ai beaucoup aimé : c’est un récit sur Vador différent – et c’est toujours bon à prendre.

 

Le quatrième épisode, illustré par l’Irlandais Stephen Mooney dans un style plus classiquement comics, est en apparence plus classique aussi du côté du scénario – cependant, il est en fait probablement plus subtil qu’il n’en a tout d’abord l’air… D’autant, je suppose, qu’il joue avec ce qu’implique le format court. Au fond, ce qui nous est narré ici pourrait aussi bien se réduire à une simple anecdote. Mais c’est en fait justement ce qui fait le sel du récit.

 

 

Le point de vue est cette fois celui d’un pilote de X-Wing T-65 au service de l’Alliance Rebelle, laquelle a monté un plan assez tordu pour localiser une base secrète de l’Empire, qui produit des TIE à tour de bras.

 

 

Ce que les Rebelles ne savent pas forcément, c’est que Vador se trouve sur place, pour évaluer le travail des ingénieurs chargés de perfectionner son TIE Advanced x1…

 

 

Mais c’est en principe secondaire pour notre « héros », qui est un archétype du pilote arrogant.

 

Il a assisté à la mort de son contrebandier de père aux mains des Stormtroopers dans son enfance, et en a hérité une haine absolue de l’Empire Galactique – une haine percluse de remords, car, au moment fatidique, il n’a pas osé tirer sur les soldats impériaux, et s’est ainsi rendu responsable de la mort de son père…

 

La lutte contre l’Empire est donc pour lui une affaire personnelle. Et c’est sans doute ce qui l’a amené à intégrer les rangs de l’Alliance au premier chef, davantage que l'idéologie à proprement parler.

 

Mais voilà : typiquement, il considère que cette seule motivation suffit à en faire un pilote idéal. Quand il n’est guère qu’une tête brûlée de plus, qui se la raconte un peu trop...

 

 

Et vous vous doutez très bien de comment tout cela va finir.

 

Un épisode du coup probablement plus subtil qu’il n’en a tout d’abord l’air, oui – et ceci alors même qu’il est construit autour d’une simple anecdote. Je tends à croire qu’il y a ici un jeu délibéré sur les implications du récit court, peut-être plus spécialement en bande dessinée.

 

Il y a aussi, là encore, une dimension tragique sous-jacente, au niveau des fantasmes d’un grouillot qui s’imagine bien trop de choses quant à ses talents – ce en quoi notre pilote rebelle n’est en vérité pas si différent de l’infirmière de l’épisode précédent : l’enchaînement est donc très pertinent, avec ces deux personnages qui ne craignent pas Vador autant qu’ils le devraient.

 

Mais le ton est tout autre : pas d’humour, ici, vraiment, vraiment pas ; juste, au choix, une résignation passablement dépressive, ou un vague dégoût…

 

 

Le cinquième et dernier épisode est illustré par le Chilien Geraldo Borges, sur des bases relativement classiques tout d’abord, mais qui virent ensuite au délire halluciné – Vador est décidément propice aux fantasmes, mais, ici, ils sont pourtant d’un autre ordre… car ils résultent bel et bien d’une hallucination au sens strict, provoquée par un poison, et qui décuple le caractère terrifiant de Dark Vador.

 

 

L’affaire commence dans une sorte de cantina, ou des Rebelles plus ou moins impliqués dans la cause prennent du bon temps en compagnie de personnages davantage typés racailles et scélérats.

 

Hélas pour eux, Vador déboule bientôt dans le bar, en quête de quelque chose que les Rebelles ont dérobé à l’Empire Galactique. Vador étant Vador, la cantina est bientôt remplie de cadavres… mais un non-rebelle parvient à s’enfuir avec l’objet recherché par Vador – une impulsion stupide…

 

 

Or cette planète est dangereuse – une jungle envahie de créatures redoutables… et de plantes empoisonnées.

 

Le fuyard connaît ce monde, il y a vécu toute sa vie, il sait qu’il a été « piqué » par une plante vénéneuse produisant des hallucinations, il sait qu’il délire…

 

 

… mais il n'y peut rien. Et en même temps, c’est comme si ce délire lui permettait de survivre un peu plus longtemps ? En déclenchant des réflexes auxquels il n’aurait peut-être pas pu faire appel autrement… Mais en rendant aussi sa fuite plus terrifiante encore, un cauchemar ininterrompu.

 

 

C’est l’ambiguïté, je crois, de cet épisode : Vador est déjà terrifiant à la base. Les hallucinations en rajoutent-elles vraiment ? Ou utilement ? Peut-être – comme révélatrices d’une nature monstrueuse du personnage encore pire sous la surface… ou pas.

 

Cet épisode se lit bien, et, dans l’architecture de la série, il offre un pendant bienvenu au premier épisode. On est passé de la pure fascination à la terreur panique absolue. Pour autant, je ne suis pas parvenu à résoudre cette ambiguïté… Ce n’est pas un mauvais épisode, il a ses qualités, indéniablement, mais je le place un bon cran en dessous des quatre autres.

 

Quoi qu’il en soit, Vador : Sombres Visions s’est avéré une bonne surprise – une mini-série plus inventive et subtile que ce à quoi je m’attendais. Et dans le registre des histoires courtes des comics Marvel de Star Wars, c’est très clairement le haut du panier.

 

 

Côté X-Wing, il n’y a pas forcément grand-chose à dire, comme d’hab’, et pourtant peut-être un peu plus que d’habitude.

 

 

De fait, le vaisseau iconique de Dark Vador, son TIE Advanced x1, est très régulièrement de la partie.

 

On notera qu’il y a une constante, dans ces épisodes qui gravitent probablement tous aux environs d’Un nouvel espoir : ce châssis est strictement associé à Dark Vador, on ne lui connaît pas d’autre pilote. Dans les épisodes 1 et 4, notamment, les Rebelles identifient aussitôt leur ennemi quand ils voient la forme particulière de ce TIE – et ils succombent alors à la panique, forcément. Le caractère de prototype de ce châssis est particulièrement mis en avant dans l’épisode 4, on l’a vu, dans lequel les ingénieurs de Sienar cherchent à l’améliorer encore, sous la houlette sévère de Dark Vador en personne.

 

Le vaisseau apparaît surtout dans les épisodes 1, 3 et 4. Et, systématiquement, Dark Vador y fait la preuve de ses talents de pilote, défonçant les vaisseaux rebelles par paquet de trouze.

 

En même temps, autre point commun à ces différents épisodes, il ne s’en sort jamais indemne : il se crashe sur une planète sauvage dans l’épisode 1, doit voir un chirurgien après chaque sortie dans l’épisode 3, et fait face seul ou peu s’en faut à toute une escadrille rebelle dans l’épisode 4. C’en est presque un gag, à ce stade.

 

 

 

Bien sûr, comme le premier et le dernier épisode en font tout spécialement la démonstration, chacun à sa manière, Dark Vador au sol n’est pas moins redoutable…

 

 

Pas grand-chose à dire autrement sur les autres vaisseaux entraperçus dans la BD. Des chasseurs TIE/ln à foison, bien sûr…

 

 

… et bien sûr une Navette T-4A de classe Lambda ici ou là.

 

 

Côté rebelles, nous avons surtout une palanquée de X-Wing T-65, et nous sommes peu ou prou à bord du cockpit dans l’épisode 4.

 

 

Nous croisons aussi des Y-Wing BTL-A4 ici ou là…

 

 

… et éventuellement une Corvette coréllienne CR-90.

 

 

Le seul vaisseau qui mérite qu’on en dise davantage est clairement le U-Wing UT-60D que pilote l’espion rebelle dans l’épisode 2.

 

En fait, il s’en tire probablement beaucoup mieux avec que le meilleur des pilotes ne le ferait dans le jeu… surtout avec toute une flotte de TIE au cul et un putain de destroyer impérial aussi tant qu’à faire.

 

 

Mais c’est aussi l’occasion de le voir faire un usage particulièrement agressif de son Aile pivot !

 

Bah, tout ceci est secondaire. Ce qui compte, c’est que cette BD est une belle surprise. Elle ne sera peut-être pas du goût de tous, mais pour ma part, j’en ai beaucoup aimé l’approche. Ce n’est pas une énième BD sur Dark Vador, et c’est en même temps un hommage approprié au plus iconique de tous les vilains. Bonne pioche !

 

 

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E
Tu as réussi à me convaincre... :)
Répondre
N
J'espère que tu ne seras pas déçu, alors !